Les personnes largement impliquées dans le système mafieux qui alimente la contrebande de cacao et café à la frontière congolo-ougandaise de Kasindi-Lubiriha, se constituent désormais en bloc pour diaboliser l’Office National des Produits Agricoles (ONAPAC) secteur de Beni et également sa direction générale installée à Kinshasa, la capitale de la République Démocratique du Congo.
Depuis l’application scrupuleuse des nouvelles méthodes à la une de la vision du chef de l’État congolais Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo et du Ministre national de l’agriculture Muhindo Nzangi Butondo, dans la perspective de potentialiser la surveillance aux points de sortie pour empêcher les exportations frauduleuses, et réduire sensiblement la fraude.
L’on observe une guere médiatique éphémère sur fond d’énormes tergiversations, de dénonciations calomnieuses, d’imputations dommageables, d’intoxications diverses, d’usage de fau, de subordination et aussi de la plaisanterie de mauvais goût à travers les médias traditionnels et médias modernes, qui ne sont pas véritablement soumis aux normes de la déontologie professionnelle du journalisme moins encore de la communication.
Ce phénomène teinté d’immaturité, de l’incivisme et du manque criant du patriotisme, est suffisamment motivé par l’esprit malveillant des antagonistes dont parmi lesquels figurent, quelques agents et anciens de l’ONAPAC et certains militaires et policiers indisciplinés dont les preuves sont légion. Ces derniers agissent par la voie des réseaux sociaux à l’instar des ; WhatsApp, Messenger, Facebook, X,Google etc… En diffusant des contenus erronés qui s’inscrivent dans l’option d’orchestrer un climat de psychose terrifiante, de dénigrement et des menaces de mort à l’endroit du chef de bureau relais de l’ONAPAC Kasindi, Monsieur Justin Lumangabo Nziali.
Et pourtant ce cadre de l’administration publique est sur le droit chemin d’obtempérer aux exigences légales du travail de l’ONAPAC sous la responsabilité générale de Madame Mimi Monga et de Madame Alphonsine Sivyaleghana, Directrice de l’ONAPAC secteur de Beni. Celà suite à l’imposition de la mise en oeuvre des normes juridiques à l’exportation concernant la variété de produits dont notamment, le café et le cacao.
Et ceci illustre sans nul doute, le dévouement à un travail laborieux de l’Office national des produits agricoles (ONAPAC), dans la lutte contre la fraude des produits agricoles, notamment à l’exportation, car ils constituent une source de revenus importante pour l’économie nationale. C’est dans le cadre de matérialiser l’objectif de s’assurer que les richesses agricoles de la province de la province du Nord-Kivu, profitent à l’économie locale au lieu de sortir du pays par des canaux illégaux.
L’Office national des produits agricoles (ONAPAC) en RDC lutte activement contre la fraude d’exportation de produits agricoles, comme le café, le cacao et le caoutchouc, dans le but de protéger la richesse économique du territoire national.
En dépit d’une campagne de mystification amorcée clandestinement dans les laboratoires médiatiques bien identifiés, l’ONAPAC s’engage activement pour lutter contre la fraude des produits agricoles, notamment à l’exportation, car ils constituent une source de revenus importante pour l’économie locale.
PAUL ZAIDI
